Comment vous êtes-vous rencontrés ?
"Au début, c’était Paul et moi (Thibault). On s’est rencontré par le biais d’une annonce postée. Au fur et à mesure du temps, la structure du groupe a évolué ; ça fait depuis 2007 qu’on existe ! Après avoir sorti notre premier EP en 2011, Jonathan nous a rejoint au clavier puis ça a été Brice
Pouvez-vous nous expliquer votre style musical ?
"En gros c’est du rock alternatif, il y a beaucoup d’ambiances bien éloignées les unes des autres, c’est un petit mix."
Est-ce que vous avez déjà des collaborations pour des projets ou avec d’autres artistes ?
"On a sorti un 1er EP en 2011, le 2ème en 2013, il y a pile un an d’ailleurs. Et là on bosse sur un court métrage dont on fait la bande originale et qui sortira normalement fin septembre, début octobre."
Un court métrage ? Pouvez-vous nous en dire plus ?
"C’est le court métrage d’un réalisateur qui s’appelle Basile Ducournau. Il fait des vidéos sur la nature, les tornades, des choses comme ça. Il est parti aux Etats-Unis en mai-juin l’année dernière, et maintenant il monte ses images. Nous, on fait la bande originale pour lui. Ca nous donne l’opportunité de construire un nouvel EP autour et sur ses images à lui. C’est quelque chose d’assez nouveau et qui est intéressant pour nous."
Comment avez-vous connu le SPANK Lab ?
"Via Facebook. On avait vu les pubs virales que Facebook nous envoie à notre insu ! (rires) Du coup c’est comme ça qu’on a participé au concours. On a mobilisé nos fans, nos amis et nos proches et voilà, c’est super !"
Est-ce que vous avez un conseil d’un festival à faire cet été ?
"Euh ouais celui-là (signe avec la main) : Rock Werchter, on y était la semaine dernière et c’est un super festival, c’est en Belgique, faut y aller mais ça vaut le détour, vraiment !
Et en France, Les Solidays, c’est super sympa aussi ! Mais sinon il y a aussi celui où nous sommes le Festival des Voix du Gaou !"
Vous-même allez-vous en festival à la découverte d’artistes ? Sur Paris par exemple ?
"Alors le problème de Paris c’est que c’est assez cloisonné finalement. Il n’y a pas vraiment de scènes qui permettent de faire des vrais festivals un peu Indés, qui offrent la possibilité à des groupes pas très connus de pouvoir se développer, de pouvoir montrer comment ça se passe. On a pas mal de festivals à Paris mais c’est toujours des grosses têtes d’affiches, c’est le gros problème de Paris, en tout cas pour nous, ça manque de diversité !
Alors on essaye de bouger, de faire pas mal de choses mais c’est pas toujours facile de faire ça à Paris et c’est pour ça qu’on est toujours ravi de se déplacer en province, parce-que finalement ça bouge beaucoup plus qu’on ne le croit. Et il y a une mentalité bien meilleure à ce niveau-là !"
En ce moment avez-vous un groupe de musique que vous aimez spécialement et que vous avezdécouvert comme ça ?
"Gush, un peu Indé et Cubic un groupe de Reims, ils sont vraiment super bons, on a eu l’occasion de travailler un peu avec eux, c’est du rock indé un peu original, c’est un bon son sucré comme il faut !"
Eh bien merci !
Merci à vous !
L'Equipe du Spank Lab
Cette interview a été réalisée dans le cadre de notre partenarait avec Spank My Music et de son projet le Spank Lab.
Vous ne connaissez pas encore? Rendez-vous d'urgence sur leur site internet!
C'est d'ailleurs grâce à leur boulot que vous pouvez découvrir des talents de qualité pendant toute la durée du Festival les Voix du Gaou. Pour la programmation c'est juste en-dessous: