Benjamin Pouzin : « Ce soir, ce n’est pas vraiment un concert, mais une soirée de louange. Ce n’est pas Glorious qui nous rassemble, mais Jésus-Christ. » Et Thomas d’ajouter : « Nous croyons que Dieu peut toucher vos vies ce soir. » Un mélange détonant de concert pop et de veillée de prière festive qui touche le public, très familial – pratiquant régulier ou occasionnel. Le tout mené dans une soirée qui est en apparence un vrai concert.
« Ça montre un visage plus moderne de l’Église », s’enthousiasme un adolescent.
Glorious impressionne d’abord par sa longévité, dans un contexte très difficile pour l’ensemble du marché du disque. Cette longévité va de pair avec des ventes exceptionnelles pour de la musique chrétienne. Quelques-unes de leurs vidéos sur YouTube ont dépasssé les 10 millions de vues. Un sésame rare pour un artiste français.
Pour Le Point, les morceaux de Glorious sont des « tubes taillés pour les dancefloors ». Ouest-France décrit ainsi la pop louange de Glorious : « ça ressemble à de la musique pop, à du rock, voire de l’électro, mais les textes parlent d’espérance, de foi, et il n’est pas rare qu’un passage de l’Evangile soit repris comme refrain ».
Infos/réservations : nikaia.fr