Le Camp des Milles, devenu Lieu de Mémoire, est réouvert et affecté à l’internement, à la mise en quarantaine et à la guérison des « inutiles », des « malades » et des « déviants ». S’y retrouvent des artistes libres penseurs, comme d’autres avant, ici même, ils vont réaffirmer l’art comme outil de résistance et d’humanité.