Cette pièce est directement inspirée de la première comédie en un acte de Molière, Sganarelle ou le Cocu imaginaire. Écrite en 1660, Molière la reprit tous les ans jusqu’à sa mort et ce fut la pièce qu’il joua le plus souvent, soit 122 fois !
Un père veut marier sa fille à un bourgeois, mais elle en aime un autre et égare son portrait gardé secrètement, qui devient, dans une série de quiproquos et de malentendus cocasses, l’objet de la convoitise et de l’illusion. Aux premières loges, dans un dispositif quadri-frontal qui crée une belle connivence, les spectateurs sont partie prenante de l’action.