Le Festival International de l’Air est annulé ce weekend à Fréjus. "Dans un souci de sécurité pour vous, nos festivaliers, ainsi que pour toutes nos équipes, nous sommes dans l’obligation d’annuler l’événement prévu les 26 et 27 octobre." ont annoncé les organisateurs ce vendredi matin.
Ouvert sur le ciel et l’horizon, le Festival International de l’Air de Fréjus (F.I.A.) souhaite, à sa façon depuis plus de 20 éditions, contribuer à faire découvrir au grand public un univers à la fois ludique, sportif et poétique permettant de ressentir des sensations et de vivre des émotions.
Placé sous le signe de la passion et du partage, mis en lumière par les talents réunis des pilotes de cerfs-volants venus du monde entier alliant à la fois maîtrise, précision technique et surtout grain de folie, le festival de Fréjus est avant tout un événement festif captivant à dimension humaine.
Les rencontres faisant les plus beaux voyages, l’équipe d’organisation de l’Office de Tourisme déploie son énergie pour créer de nouvelles passerelles afin d’élargir toujours un peu plus le champ des possibles.
La prochaine édition, organisée par l’Office de Tourisme pour le compte de la Ville de Fréjus se déroulera en octobre 2024 sur les bords de la Méditerranée, à la Base Nature François Léotard.
Avant qu’elle ne devienne un site d’exception bordée par la Grande bleue et dédiée aux loisirs en plein air, la Base nature fut le berceau de l’aéronautique française et le terrain d’expérimentations majeures. Dès l’origine, elle offrit en 1913 les conditions idéales qui permirent le décollage de Roland Garos depuis ce spot inégalable pour la prouesse cumulée de deux premières mondiales couronnées de succès :
La première traversée de la Méditerranée et par ce même exploit, le premier raid intercontinental en ralliant l’Europe à l’Afrique !
La Base Nature déploiera à l’occasion du F.I.A ses atouts charmes pour un spectacle éphémère grandiose.
Par la création de véritables démonstrations aériennes spectaculaires et des formats de compétition alliant dynamisme et modernité