Dans le monologue Drugs kept me alive, Jan Fabre met en scène un personnage à la lisière de la vie. Le performeur Antony Rizzi, danseur historique de William Forsythe et interprète régulier de Jan Fabre, y raconte son combat contre le sida.
Ses complices sont l’ecstasy, les poppers, les amphés et la coke : des pilules pour survivre, et des pilules pour l’ivresse et la vie entre euphorie et abîme. Il embarque ainsi à bord d’un gigantesque dirigeable au‐dessus des nuages, et amarre aux quais de ses chimères, entouré de mirages qui l'emmènent loin, très loin jusqu'à l'extase.
Spectacle en anglais surtitré en français.