Sur l’horizon dégagé d’une nuit à Marseille, Félicie d’Estienne d’Orves hérisse des lignes de laser monumentales vers le ciel. Pointés dans la direction d’étoiles, de planètes ou de trous noirs, ces faisceaux de lumière proposent d’aligner nos regards vers d’autres espace-temps, mettant en évidence des perspectives invisibles.
Une exploration céleste en quête de points de vue nouveaux, alliée à la partition électro-acoustique de la compositrice Julie Rousse qui traduit les données astrophysiques de la carte du ciel en son.