En 2017, à Istres dans le sud de la France , quelques esprits aventureux ont pris la décision de se lancer dans l’organisation d’un festival de rock ... Le lieu idyllique que propose la plage de la Romaniquette, semble être l’écrin idéal pour accueillir de brillantes découvertes locales, nationales même internationales !
La Guinguette Sonore devient LE festival rock les pieds dans l’eau : un moment inoubliable pour les festivaliers. Porté par une organisation sans failles, une équipe de bénévoles hors norme et l’investissement remarquable des artistes et des équipes techniques, le pari est réussi...
Un septième tsunami rock est d'ores et déjà annoncé sur la plage de la Romaniquette fin août! Le meilleur du rock indé d'ici et d'ailleurs dans un cadre idyllique et une ambiance festive sereine et bon enfant! Le festival de la Guinguette sonore revient pour sa septième édition ! Au programme : un tsunami rock, sur la plage de la Romaniquette à Istres, provoqué par dix groupes d’ici et d’ailleurs qui se succèderont lors de deux soirées placées sous le signe du Poulpe.
Bière, poulpe & rock’n’roll !
Après une année 2023 riche de (très) belles dates, Brother Junior a mis les bouchées doubles et est prêt à repartir sur les routes avec un premier album à paraître à la fin de cette année. Intitulé Loser/Not Loser, ce manifeste rock, fait de guitares incisives, de rythmes puissants et de basses enveloppantes, laisse la voix de Brother Junior nous guider dans son histoire, entre profondes remises en question et réussites. Leçon numéro 1, savoir perdre avec panache !
Fin del Mundo a un pied à Buenos Aires, l’autre en Patagonie. Leur musique nous invite à voyager entre ces deux univers, à travers des mélodies de chant et des passages instrumentaux combinant son pop indé et nuances post-rock. Alors que leurs premiers titres sortis en avril 2020 étaient la bande-son de nos étranges jours d'isolement, leur deuxième EP cherche d'autres directions musicales pour montrer que la fin du monde n'est pas le point final de l’existence mais le début d'une nouvelle étape.
Il serait revenu le temps d'une Angleterre Thatchérienne durant lequel la jeunesse disait non au futur. Purrs traduit le retour de ce passé gris à travers ses influences post-punk et remet au goût du jour les questionnements d’une génération qui se répètent au fil du temps. Inspiré par un réel qui devient parfois insupportable, le combo fait converger une urgence artistique singulière puisée dans la Grande Bretagne des années 80 et le constat actuel d'un avenir sombre, devenant l’orchestre d’un présent amer mais qui ne refuse pas l’espoir.
Trois têtes bien connues du paysage musical tourangeau s’unissent avec la curiosité des touche-à-tout. Celle qui veut explorer et comprendre le psychédélisme d’un King Gizzard, celle qui ne vibre que sous la tension rythmique du kraut allemand 70’s, celle qui dépoussière et modernise. Un vaisseau modulaire trône entre deux batteries qui se font face, sorte d’engin massif conçu pour la conquête en looping et la transe répétitive. Une invitation à une danse animale, collective, qui se ressent plus qu’elle ne se pense, eux seuls au contrôle, auditeur et foule passagers de ce space trip jouissif !
Préférant visiblement les chemins sinueux aux lignes droites ennuyeuses, ce groupe inclassable possède un sens de la composition en forme de labyrinthe assez impressionnant. On se laisse vite emporter par les ritournelles vrillées des guitares et les lignes de voix que ne renieraient pas un certain Thom Yorke avant de se laisser emporter avec délice par les déflagrations noise fracassantes qui manquent à chaque instant de nous faire chavirer...
Technopolice se pose comme l’héritier des gloires punk underground marseillaises du début du millénaire et est animé par la même envie d’en découdre que ses aînés. Son nouvel EP In Your Pocket se révèle digne de cet héritage, avec une attitude cabocharde qui ne trompe pas. Ces quatre garçons activistes dans de nombreux groupes marseillais chantent les rues de la cité phocéenne et la réalité de leur génération, avec justesse, relâchement, malice et une énergie débordante !
A l’écoute de Moloch/Monolyth, un tas d’influences viennent se percuter dans nos oreilles, générant un tout d’une beauté lumineuse. Si Eels, dEUS, Death Cab for Cutie ou Arcade Fire sont conviés au banquet, c’est bien Moloch/Monolyth qui en sort grandi ! Sur scène comme en enregistrement, les quatre membres du combo unissent leurs voix pour créer des chœurs puissants sur des textes très intimes. Cette symbiose a donné naissance à How Strange It Is To Miss You When You’re Right Here Just Next To Me, album aussi fascinant que son titre est long !
Stuck In The Sound fait partie de ces groupes révélés par la scène. La formation de Montreuil a rapidement gagné en renommée à travers ses premières tournées. Mais c’est avec le titre Let’s Go qu’elle explose réellement en France comme à l’étranger. Quelques 280 millions de streams plus tard, Stuck in the Sound revient avec 16 Dreams A Minute, un sixième album très attendu des deux côtés de l’Atlantique, un double album riche où il est question de rupture, de résilience, de mélancolie, de reconstruction et d’idylles adolescentes.
Sun a créé la « Brutal-Pop », qui mêle Pop mainstream et Metal Extrême. Mélodies catchy, univers visuel coloré, scream et double pédale, la « Brutal Pop » de Sun pourrait être l’enfant caché de St Vincent et Gojira. Ses chansons évoquent la violence des grands sentiments, avec pour mission de véhiculer un message positif de courage, d’espoir et de générosité. Son actualité récente est notamment marquée par nombre de premières parties des iconiques Shaka Ponk dans les Zéniths de France !
Dans un grésillement de tubes cathodiques, des mélodies vaporeuses surfent sur une pulse sauvage. L'énergie irascible du post-punk flirte avec des sonorités électro voluptueuses, glam et psychédéliques. Basse, batterie, guitare et synthé : quatre mômes espiègles, planqués sous un trench-coat, jouent les entremetteurs sur un dancefloor en péril. Mon premier est à la fête, mon second fait frémir. Entre crasse et paillettes, Catchy Peril se révèle dans le paysage rock indé comme une tâche de sauce Gravy sur un négligé de soie.
Tarif : 15 euros la soirée / 22 euros pass deux soirées
> Infos : laguinguettesonore.fr