Après avoir signée ses propres versions déstructurées des pièces mythiques du répertoire classique tels que "Roméo et Juliette", "Le lac des cygnes", ou encore "Carmen" et "Giselle", la chorégraphe-danseuse s'attaque cette fois à l'iconique "sacre du printemps" en y incarnant elle-même l’Élue.
Le résultat est une variation empreinte de culture et gestuelle tswanaise transcendé par la présence sur scène d'une chanteuse et de musiciens.
Par Didier Philispart