Son cœur de rappeuse bat au rythme de la aïta, chant dialectal des femmes Chikhates qui depuis le XIXe siècle dénonce les injustices, appelle à l’émancipation féminine, au soulèvement contre l’oppresseur… Une liberté de ton qui ne pouvait déplaire à Widad Mjama qui, quand elle n’est pas avec son complice de N3rdistan, Walid Ben Salim, déploie sa flamboyance sur l’électro de Khalil Epi pour hisser ce blues menacé sous les feux des scènes de musiques actuelles !
Infos/réservations : www.suds-arles.com