Adi Oasis, artiste et productrice soul-funk-R’n’B originaire des Antilles françaises et basée à Brooklyn, a récemment sorti son dernier album, Lotus Glow, avec sa voix aérienne, sa basse funky et sa production rétro-futuriste. L’album, qui comprend des invités spéciaux tels que KIRBY, Leven Kali, Jamila Woods et Aaron Taylor, est l’œuvre la plus personnelle d’Adi à ce jour – et aussi la plus politique. Pour Adi, les thèmes politiques sont incontournables. « Sur le plan thématique, mon nouvel album est intrépide, mais vulnérable, et aussi plus politique, car je suis une immigrée noire et ce sont mes vérités. »
Adi a fait des tournées mondiales, apparaissant avec des artistes tels que Lenny Kravitz, Masego, Anderson .Paak, Thundercat, Gilles Peterson, Yasiin Bey et bien d’autres, et s’est produit dans une grande variété de festivals, notamment le Newport Jazz Fest, Love Supreme, Central Park Summerstage, Afropunk, Montreux Jazz Festival, Cross the Tracks et Funk on the Rocks (Red Rocks).
On ne présente plus Pink Martini, surtout depuis le phénoménal succès planétaire de leur album Sympathique, dont est issu le tube Je ne veux pas travailler, hymne à la paresse élevée au rang d’art depuis les années 40. Voici près de vingt-cinq ans que le groupe-phare de Portland tourne dans le monde entier et susurre à nos oreilles son univers rococo-kitsch-latin orchestral tout à fait assumé. Inclassable, intemporel, chantant dans plus de vingt langues, Pink Martini est un vrai juke-box d’influences multiculturelles au son rétro, latin, jazz, dont on ne se lasse pas avec ses mambos, cha-cha-cha et autres sambas en Technicolor®.
Formé en 1994 avec douze musiciens dont le pianiste et directeur artistique Thomas Lauderdale et la chanteuse China Forbes, Pink Martini puise ses racines dans la musique classique autant que dans le jazz, la musique cubaine ou les comédies musicales de l’âge d’or hollywoodien. En résulte un pop-jazz tonique inspiré qui fait la fête et le beau temps, réunissant des mélodies et des rythmes issus des quatre coins du monde pour créer quelque chose de moderne. Comme un carnet de voyage musical…
Si vous ne les avez encore jamais vu sur scène, n’allez pas… travailler et venez les voir!
Du 8 au 18 juillet puis les 23, 24, 30, 31 juillet, 01 et 02 août.
Des sessions toujours placées sous le signe des découvertes. Dans l’objectif de présenter l’émergence du Jazz européen, Jammin’Summer session présentera 18 concerts sur ses 2 scènes habituelles (Petite Pinède et Place Nationale). Ces musiciens viendront de France (dont l’île de la Réunion), de Belgique, du Luxembourg, d’Espagne et de la Nouvelle-Orléans. Un concert présentera en avant-première un projet franco-espagnol en collaboration avec le Centre National de la Musique et Taller de Músics.
Pour la 2e année, la médiathèque Albert Camus vous accueillera avec Les Matinales du Festival qui présenteront un groupe en concert les 9 et 18 juillet à 11h, suivi d’un échange avec les musiciens.
Ces jeunes artistes internationaux représentent tous les courants de la scène Jazz actuelle (classique, rock, électronique, vocal…) avec parfois de petites visites dans des genres différents. Ils ont en majorité été découverts lors de Jammin’Juan, le marché des professionnels du jazz (prochaine édition du 6 au 8 novembre 2024).
Catégorie Or : 140€
Catégorie 1 : 110€
Catégorie 2 : 90€
Catégorie 3 : 60€ / 30€*
* Le tarif «jeune » (indisponible sur internet) est destiné aux jeunes de moins de 18 ans, aux étudiants et aux détenteurs de la carte LOL1625 (sur présentation d’un justificatif) dans la limite des places disponibles dans les catégories de places concernées.
Infos/billetterie en ligne : jazzajuan.com
