Invité en résidence à Palerme, Aurélien Bory a fait du choc de sa rencontre avec Le Triomphe de la mort, une fresque murale du XVe siècle devenue le symbole de la ville, le support visuel et philosophique à sa nouvelle création. Une partition scénique vertigineuse pour un ensemble de scènes « invisibles » où s’entrecroisent la danse, la musique et le chant.