Il eut été impensable de dédier ce festival à l'amour sans évoquer l'ère romantique : la musique de chambre, les genres du lied ou de la rhapsodie, sans oublier la star du XIXe siècle et de ses salons bourgeois : le piano. Rémy Cardinale, à la tête de cette Armée des Romantiques qui, à travers l'interprétation sur instruments anciens, renouvelle l'écoute d'une musique dont on croyait tout connaitre, convoque ainsi Schubert, Schumann, Mendelssohn, Liszt, Fauré, Duparc et Franck, eux-mêmes accompagnés de Goethe, Heine, Hugo, Baudelaire... qui dit mieux !