Dans Fahrenheit 451, les pompiers n’éteignent plus les incendies, ils brûlent ce qui dérange, c’est-à-dire les livres. Un livre se consume à une température d’environ 233 degrés Celsius, soient 451 degrés Fahrenheit. Montag travaille donc de nuit, sous les ordres du capitaine Beatty, parce que les flammes sont plus belles dans le noir. Montag aime voir le pétrole jaillir de la lance et inonder les pages, il aime cette odeur de pétrole, un grand sourire ne quitte jamais son visage. Jusqu’à ce qu’il fasse une rencontre et qu’on lui pose cette simple question : "Est-ce que vous êtes heureux ?".