Pour fêter le printemps, le train touristique de la côte Bleue vous embarque dans un itinéraire côtier entre spectacles, pique-nique et créations.
Mauro Gioia, napolitain, chante dans la langue de cette ville, ce «visage légendaire et conventionnel de Naples».
Accompagné d’un piano, il évoque sa criminalité, ses amours, ses nuits... Le chant de l’âme napolitaine... « Le soir était tiède, d’une douceur qui caressait la chair, c’était l’heure où, sur le crépitement aigre des mandolines et sur le terne bourdon des guitares, les chanteurs jaillissent de l’ombre comme des chiens glapissants, lançant vers le ciel leurs trémolos langoureux. Par groupe de trois ou quatre - le diseur sentimental, le pitre, les accompagnateurs - ils viennent dévoiler le visage légendaire et conventionnel de Naples… » écrivait Auguste Bailly.